Jour 2 du séminaire

Dés potron-minet, le haut-commandement  se dirigea, frais et dispos vers GVA (aéroport de Genève pour les ignares ) pour prendre le premier avion pour une infiltration de renseignement. Dés 7.20, l'avion emporta commandants et homme de troupe ( car les commandants sont ainsi: généreux et pas bégueules )



A peine atterie, la troupe embarqua dans le train militaire, camouflage suisse comme il se doit )



Le terrain " de jeu" qui attendait la troupe semblait à la hauteur de leurs prétentions ( car les BALOU sont comme ça : juste un peu fanfarons )



l'un d'entre nous avait repéré un membre des forces ennemies ( et vous ? )

La longue marche commença sur un terrain qui s'avéra de plus en plus ardu et caillouteux.



Certains des plus braves commencèrent à souffrir, en silence mais... Le souffle se fit court, le pas incertain. Il fallut toute la science et le sens du commandement pour que, sous la harangue du commandant en second ( le premier se reposant sur lui  ) pour que la troupe se ressaisit.



Les vivres elles-même s'amenuisèrent (foin de raclette, de Mondeuse et autre  Tomme) au point de devoir chasser la marmotte (expression typiquement savoyarde mais dont le sens s'est perdu ... ( une idée ? ) si le but du crapahute s'approchait, la nuit avait précocement rattrapé la troupe et la première halte s'imposa.
C'est donc dans la neige , à la dure, qu'au petit matin la troupe s'éveilla.



Décisive, la matinée le fut.Notre puissante troupe fut au contact rapidement avec celle , ennemie, de suisses allemands , peu prolixes et guère accorts. Plus nombreuse la perfide transalpine commença à nous courser mais dans une retraite, fière quoique vive (" Mais pas si vite!!!! " ) , que la horde des Balou se replia.



Ayant, enfin!, trouvé la distance de sécurité , un bref débriefing s'imposa et la conclusion tomba comme un couperet :" nous ne sommes pas prêts! "

Avant le retour, un dernier bivouac dut s'improviser et les postes répartis, dont celui d'observateur...



Le train nous attendait aux premières heures et la descente dans la vallée se fit en silence relatif, car bruyant pour certains;

ça donne envie d'y aller avec toutes ces belles paroles et ces belles photos !

La carte "Col de montagne" n'a donc plus aucun secret pour notre haut-commandement !
Les tanks ont été garés en bas du glacier et ne sont pas sur les clichés pour d'évidentes raisons stratégiques !
Bien joué, nous triompherons de tous désormais !

trop cool !!!  sa doit lui faire les mollets au breton ahahah  un petit selfie pour finir serait super

Un bon grand bol d'air